Naturopathe
Tout au long de ma vie professionnelle, j'ai suivi le vent, j’ai pris les opportunités qui s’offraient à moi parce qu’elles me passionnaient et j’adore apprendre plus et encore dans de nombreux domaines et c’est ainsi que je suis passé de la comptabilité, à la garde d’enfant puis à la thérapie. Le point commun : l’assistance.
En 2008, j’ai divorcé et démissionné, je me remettais d’une dépression, il était temps de changer. Je suis devenue assistante maternelle et je me suis formée à la métamorphose (une thérapie émotionnelle issue de la réflexologie). J’ai ajouté à cette compétence le massage aux pierres chaudes, puis le massage prénatal.
En 2011, mon fils souffrant d’un syndrome du côlon irritable, j’ai eu besoin de trouver des réponses autres que l’émotionnel et je me suis formé à la naturopathie (options : iridologie, massage TUINA, massothérapie pour enfants et massage holistique).
En 2017, ma fille a craqué psychologiquement, le diagnostic est tombé au bout d’un an, d’un accompagnement chaotique et douloureux car dans notre région il y a pénurie de pédopsychiatre. À son entrée en clinique en 2018, ils nous ont annoncé qu’elle souffrait d’un trouble d'anxiété généralisé chronique. Elle avait des troubles du sommeil, des crises de panique, de l’anxiété sociale. Je me suis donc spécialisée dans les accompagnements des troubles de l’humeur en me formant sur les plantes adaptées à ce type de problématique, à la gestion du stress et des émotions, en EFT, en PNL. Et, comme l’anxiété s’accompagne de syndrome prémenstruel, de douleurs pendant les règles, je me suis également formé à l’accompagnement des troubles féminins. Il est impensable pour moi que la réponse à la douleur des femmes en lien avec leur cycle soit : c’est normal. Non, ce n’est pas normal et oui, nous avons des outils et il est temps que nous réapprenions à connaître notre cycle.
"Ce qui me surprend le plus dans l'humanité, ce sont les hommes qui perdent la santé pour gagner de l'argent et qui après dépensent cet argent pour récupérer la santé.
À penser trop anxieusement au futur, ils en oublient le présent, à tel point qu'ils finissent par ne vivre ni au présent, ni au futur.
Ils vivent comme s'ils n'allaient pas mourir et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu."
- Dalaï Lama